QU’EST-CE QUE LA THÉRAPIE DES VIES ANTÉRIEURES?
La thérapie régressive ou Thérapie des vies antérieures est une technique de psychologie transpersonnelle, dont le fondement est que les conflits du présent proviennent des événements traumatiques du passé.
La principale différence avec les autres formes de psychothérapie est que pour nous le passé peut être aussi proche que cette vie, l’enfance, la vie fœtale… ou aussi loin que les vies précédentes plus éloignées. Car le temps de l’âme n’existe pas : tout se passe en même temps.
L’autre différence – non moins importante – est sa connotation spirituelle : à travers l’état de conscience élargie, vous pouvez accéder non seulement aux expériences du passé ; des expériences au sommet, des expériences mystiques, des rencontres avec des êtres de lumière ou avec des êtres chers décédés se produisent souvent… toutes les expériences qui peuvent totalement changer la vie, et dans tous les cas, nous convaincre que nous ne sommes pas des corps avec une âme: nous sommes des âmes vivant une expérience physique.
Pourquoi vous inscrivez-vous en psychologie transpersonnelle?
Parce que la TVP est une démonstration que la conscience ne se limite pas au cerveau ou au corps physique ou à une seule vie : la conscience transcende.
Clarifier certains doutes :
1.-La VRAIE TVP ne doit jamais induire de contenu chez le patient. Ce qui apparaît ne vient que du patient. Il est simplement amené à l’état de conscience élargie et expérimenté: l’expérience qui apparaît est traitée thérapeutiquement.
Je ne doute pas qu’il y ait de faux thérapeutes sans scrupules qui pourraient influencer et introduire du matériel fantaisiste dans la régression du patient, mais cela équivaudrait à un crime.
2.-Il faut différencier la simple régression anecdotique de la régression thérapeutique : un thérapeute formé fait revivre au patient les événements traumatiques et les guérit : il ne suffit pas de les revivre. Je le compare à une chirurgie de l’âme: ouvrir, enlever et fermer.
3.- Pour éviter les risques de faute professionnelle, le patient doit et peut savoir si le spécialiste l’est vraiment, où et comment il a été formé, et leurs références.